Les rues trop connues se dévoilent avec leur nouveau maquillage. La seule source de lumière ne peut s'empêcher de s'incruster des trous de mémoire délaissés par la fainéantise de la veille. Les infiltrés des échappés occupent leur temps ensoleillé ailleurs que là-bas. Je joue au cache-cache avec leurs ombres qui s'en vont chaque soir, à la tombée de la nuit. Le temps passe vite, trop vite, et ma mémoire n'a pas le temps de tout enregistrer. Mais ce n'est sûrement pas grave. Elles seront là pour me rappeler, lorsque je me réveillerai à nouveau.
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